Il n’y a pas grand chose de plus banal que fermer ses volets le soir, avant de se coucher. Pourtant, chez certains ce moment est redouté. En effet, contempler les étoiles la nuit projette dans l’infini et renvoie vers l’éternité.
Penser à l’infini de l’espace ou du temps donne une forme de vertige.
Chacun, à sa manière, parvient à chasser ce type de pensées inconfortables, mais parce qu’on est vivant, elles reviennent et procurent de l’angoisse.
De l’enfant dans son questionnement face au pourquoi de l’humanité, à l’infini et à la mort ; à l’adulte qui y ajoute la dureté de la vie, l’impossibilité de maîtriser l’avenir, la maladie, le travail, la séparation ; il y a bien des sujets qui nous rendent « insécure ».
Notre Créateur connaît cette réalité intérieure peu confortable, et Il ne l’aime pas.
Oui, Dieu n’a jamais voulu que l’homme vive ce genre d’incertitude permanente. En raison de son amour, le Père céleste souhaite voir chacun vivre en paix, même si les choses ne se passent pas comme nous l’espérons.
Jésus a fait cette promesse à tous les siens : « Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. Je ne vous donne pas comme le monde donne. Que votre coeur ne se trouble point, et ne s’alarme point » (Jn 14/27).
Je ne pourrai pas vous décrire ce qu’est la paix de Dieu, car elle ne peut être comparée à rien de connu. Oui, vivre cette paix n’est pas humain, et la recevoir est la conséquence de la révélation de Christ, de Son œuvre et de Son pardon au plus profond d’un cœur.
Omniscient, omnipotent et omniprésent, Dieu sait ce qui se passe au plus profond de votre cœur et de vos pensées.
Il sait aussi parfaitement comment faire pour vous bénir, seulement si vous l’y invitiez.
Personne n’apprécie ces moments d’angoisses face à l’éternité, mais je peux vous dire que si vous cherchez … Vous comprendrez que Christ peut vous accorder cette paix si précieuse.
Fort de ce qu’aussi le coronavirus nous renvoie, nous ne pouvons que vous conseiller de croire en Jésus Christ afin qu’Il vous accorde Sa paix.
Faites ce pas… Demandez-Lui !
