Mes certitudes…

Qu’on s’en défende ou non, nous avons tous des certitudes. Mais quand on se veut rationnel et logique, ce n’est pas flatteur, car elles traduisent une assurance forte en des choses (pas toujours fondées) que l’on tient pour vraies. Parfois, venant de notre vécu ou de notre éducation, ce n’est pas très logique ou explicable, mais elles sont structurantes et donnent des repères pour avancer dans sa vie comme dans ce monde qui en manque singulièrement.

Entre autres choses, c’est aussi à cause de ce besoin que nous avons, que notre Créateur a donné dans un premier temps la Loi. Et c’est face à des hommes attachés à ce type de certitudes viscéralement constructives “que Jésus entra dans la synagogue, et qu’Il enseignait. Il s’y trouvait un homme dont la main droite était sèche. Les scribes et les pharisiens observaient Jésus… Et Jésus leur dit : Je vous demande s’il est permis, le jour du sabbat, de faire du bien ou de faire du mal, de sauver une personne ou de la tuer. Alors, promenant ses regards sur eux tous, il dit à l’homme: Étends ta main. Il le fit, et sa main fut guérie. Ils furent remplis de fureur, et ils se consultèrent pour savoir ce qu’ils feraient à Jésus” Luc 6/6-11

Chez les juifs, le sabbat est sacré. Le samedi est un jour où chacun doit se reposer, tout travail est proscrit sous peine, selon la loi de Moïse, de mort. Et, lorsque Jésus a guéri ce jour là, ils considéraient que le Seigneur avait rompu le sabbat, c’est pourquoi les religieux étaient très irrités, comme si prier et laisser Dieu agir était un travail.

Oui, Jésus bousculait tous leurs repères et, pour peu qu’on examine les choses, Christ ne changeait rien, Il l’accomplissait en manifestant l’amour et la volonté de bénédiction de Dieu envers chacun.

Comme ces hommes, avec un minimum d’honnêteté, nous ne pouvons que reconnaître que quand nos certitudes ont été bousculées, nous avons aussi faits partis de ces hommes. Là, manquant singulièrement de bon sens, écartant tout amour ou empathie, nous nous sommes accrochés à nos repères. Illustrant, le fait que l’on voit plus facilement la paille qui est dans l`oeil de l’autre que la poutre qui est dans le sien (Cp. Mt 7/3).

Garder ses certitudes est confortable, ainsi malgré les regards quelque peu accusateurs, l’handicapé n’a regardé qu’à Christ, il a cru et il a été guéri. Oui, c’est poussé dans nos retranchements qu’on ouvre des portes et qu’on permet à la grâce de nous atteindre.

La bonté de Dieu n’a pas de limite. Son Fils unique est venu pour non seulement la révéler mais aussi pour nous montrer combien nous avons besoin de sortir de notre illusion de pouvoir tout contrôler.

Croire en la mort de Christ à la croix et en Sa résurrection n’est pas naturel. En effet, la croix nous fait sortir des certitudes façonnées par ce monde. Mais, en raison de la grandeur de Dieu et de Son Fils Jésus-Christ, nous avons besoin de sortir de nos certitudes.

Oui, Dieu veut que par-delà les repères sur lesquels vous vous êtes construits et qui vous ont façonnés, guérisons, miracles, bénédictions et accès au paradis soient votre partage.

Ce choix est le vôtre.

Si oui, lisez les Évangiles.

Dieu n’a pas changé, ainsi, malgré vos doutes liés à vos “certitudes”, tournez vos regards vers Christ. Dites-Lui ce que vous avez sur le cœur et acceptez, Son pardon, Sa présence, Sa paix et Sa bénédiction.

CETTE PENSÉE VOUS A FAIT DU BIEN ?
PARTAGEZ-LA À VOS PROCHES !

Encore un peu de lecture...

Nous contacter

Vous désirez en savoir plus sur notre église ?
Vous avez besoin que l’on prie pour vous ?
N’hésitez pas à nous contacter.